"Le diable couché sur papier bible, il fallait que ça arrive. Publier Sade dans " la Pléiade " est évidemment un événement, une provocation. On ne voit plus très bien après cela ce qu'on pourra interdire au nom des bonnes moeurs. Les amateurs déjà déclarés de Sade verront là une forme d'enterrement somptueux. Les autres, la consécration d'un outrage inouï et qui n'eut pas de repentir. ", Le Monde, 23.11.1990