Amie de Klaus Mann, d’Erika Mann, de Carson MacCullers, d’Ella Maillart qu’elle accompagna en Afghanistan en 1939 et qui, sans la nommer, parle longuement d’elle dans La Voie cruelle, elle laisse l’image d’une jeune femme androgyne, suicidaire, en révolte contre son temps. Mais, selon ses propres termes, sa vie n’était qu’écriture. Elle mourut des suites d'une hémorragie cérébrale due à un accident de vélo.